Glossaire du Citepa pour la COP-30
Par : Mark Tuddenham
Le Citepa a réalisé un glossaire en quatre parties pour vous permettre d’y voir plus clair concernant :
- les principales abréviations et les acronymes relevant des négociations de la CCNUCC,
- les principales coalitions de négociation regroupant les différents pays,
- les groupes régionaux d’États membres représentés à l’ONU,
- et l’architecture de l’Accord de Paris (liste des articles et de leur contenu).
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Abréviations et acronymes
BAR : Baku-Belém Adaptation Roadmap
BR : Rapport biennal (Biennal Report) (élément-clé du dispositif IAR)
BTR : Rapport de transparence biennal (Biennal Transparency Report) (au titre de l’article 13 de l’Accord de Paris)
BUR : Rapport de mise à jour biennal (Biennal Update Report) (élément-clé du dispositif ICA)
CCNUCC : Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (Convention Climat)
CMA : Réunion des Parties à l’Accord de Paris
CMP : Réunion des Parties au Protocole de Kyoto
COP : Conférence des Parties à la Convention Climat
ETF : Cadre de transparence renforcée (Enhanced Transparency Framework) (cf. article 13)
FMCP : Examen multilatéral des progrès (Facilitative Multilateral Consideration of Progress) (cf. article 13)
FRLD : Fund for responding to loss and damage (Fond pertes et préjudices)
GCF : Fonds vert pour le Climat (Green Climate Fund)
GES : Gaz à effet de serre
GGA : Objectif mondial en matière d’adaptation (Global Goal on Adaptation) (cf. article 7)
GIEC : Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (IPCC en anglais)
GST : Bilan mondial (Global Stocktake) (cf. article 14)
IAR : Évaluation et analyse internationales (International Assessment and Review) (dispositif MRV applicable aux Parties à l’annexe I)
ICA : Consultation et analyse internationales (International Consultation and Analysis) (dispositif MRV applicable aux pays en développement)
INDC: Contributions prévues déterminées au niveau national
ITMO : Transferts de réductions réalisées entre pays (internationally transferred mitigation outcomes) (article 6 de l’Accord de Paris)
JTWP : Programme de travail sur la transition juste (Just Transition Work Programme)
MA : Évaluation multilatérale (Multilateral Assessment) (élément-clé du dispositif IAR)
MDP : Mécanisme de développement propre (article 12 du Protocole de Kyoto)
MoI : Moyens de mise en œuvre (Means of Implementation), à savoir le financement climat, le transfert de technologies et le renforcement des capacités
MPG : Modalités, procédures et lignes directrices (modalities, procedures and guidelines)
MRV : Suivi, notification et vérification (Measuring, Reporting and Verification) [concept défini pour la première fois dans le Plan d’actions de Bali de décembre 2007]
MWP : Programme de travail sur l’ambition et la mise en œuvre de mesures correspondantes en matière d’atténuation (Mitigation Ambition and Implementation Work Programme)
NAP : Plans nationaux d’adaptation (National Adaptation Plans)
NCQG : Nouvel objectif quantifié collectif pour le financement climat (New Collective Quantified Goal for climate finance)
NDC : Contributions déterminées au niveau national
OMGE : Atténuation globale des émissions mondiales (Overall mitigation in global emissions)
PACM : Mécanisme d’octroi de crédits d’émission (Paris Agreement Crediting Mechanism)
PAICC : Comité pour faciliter la mise en œuvre et le respect de l’Accord de Paris (Paris Agreement Implementation and Compliance Committee) (cf. article 15)
PCCB : Comité de Paris sur le renforcement des capacités (Paris Committee on Capacity Building)
PED : Pays en développement
SB : Organes subsidiaires (Subsidiary Bodies), terme collectif qui englobe le SBSTA et le SBI
SBI : Organe subsidiaire pour la mise en œuvre [organe de la CCNUCC]
SBM : Organe de supervision de l’article 6.4 (Article 6.4 Supervisory Body)
SBSTA : Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique [organe de la CCNUCC]
SCF : Comité permanent sur le financement (Standing Committee on Finance)
URCE : Unité de réduction certifiée des émissions (en anglais : Certified Emission Reductions ou CER) (crédits d’émission résultant de la mise en œuvre de projets réalisés dans le cadre du MDP)
UTCATF : Utilisation des terres, changement d’affectation des terres et foresterie (LULUCF en anglais)
WIM : Mécanisme international de Varsovie (Warsaw International Mechanism).
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Principales coalitions de négociation
Les négociations au sein de la CCNUCC s’articulent :
- autour de cinq groupes régionaux des Nations Unies (Afrique ; Asie et région du Pacifique [dont les Etats du Golfe (Bahreïn, Koweït, Oman,…)]; Europe de l’Est et Europe centrale ; Amérique latine et caraïbes ; Europe de l’Ouest et autres [Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, USA, Israël]), et
- autour de plusieurs coalitions de négociation fondées sur des alliances politiques constituées sur la base d’intérêts communs.
Cependant, les cinq groupes régionaux ne sont généralement pas utilisés pour présenter les intérêts fondamentaux des Parties, et plusieurs autres groupements jouent un rôle plus important dans les négociations sur le climat.
Les pays peuvent également prendre la parole en leur nom propre.
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Groupes de négociation
Il existe actuellement 16 groupes de négociation officiels dans le cadre du processus de négociation de la CCNUCC.
G77+Chine : composé de 133 pays en développement et de la Chine, celle-ci étant un membre associé plutôt qu’un membre à part entière. Lors des négociations climat, les pays membres du G77+Chine adoptent parfois des positions divergentes, qu’ils défendent alors par le biais d’une autre coalition de négociation ou d’un groupe régional.
Au sein du G77+Chine :
- BASIC : Brésil, Afrique du Sud, Inde, Chine. Il a été fondé en novembre 2009 pour définir une position commune avant la COP-15 à Copenhague. Ces dernières années, cette coalition a été beaucoup moins active et le Brésil a pris ses distances avec les trois autres pays.
- Groupe arabe : 22 pays qui insistent régulièrement sur le besoin de prendre en considération les impacts négatifs potentiels des actions climat sur leur économie. Ses membres s’associent le plus souvent au G77+Chine ou au groupe des LMDC, auquel appartiennent également l’Arabie Saoudite, l’Irak, le Koweït ou le Qatar. Le groupe n’est pas formellement présidé par l’un de ses membres mais l’Arabie Saoudite y joue un rôle clé.
- ALBA (Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique): il s’agit, à l’origine, d’une organisation politique, sociale et économique qui vise à promouvoir la coopération dans ces domaines entre certains pays de l’Amérique latine et des Caraïbes et à fournir une alternative à la zone de libre-échange des Amériques promue par les États-Unis. L’ALBA constitue aussi, depuis 2010, une coalition de négociation avec un noyau de 10 pays dont le Venezuela, Cuba, la Bolivie, l’Équateur, le Nicaragua et Antigua-et-Barbuda.
- AILAC (Association des Etats indépendants d’Amérique latine et des Caraïbes, GRULAC en français) : Chili, Colombie, Costa Rica, Guatemala, Honduras, Panama, Pérou. Créée à la suite de la COP-18 à Doha en 2012 pour donner une nouvelle impulsion aux négociations, l’AILAC s’est détachée de l’ALBA en développant des positions plus centristes.
- AOSIS (Alliance des petits Etats insulaires ou Alliance of Small Island States) : 39 membres (et cinq observateurs) qui ont en commun leur grande vulnérabilité face au changement climatique, notamment la hausse du niveau de la mer.
- Groupe Afrique: il rassemble 54 pays du continent africain et fonctionne comme une véritable coalition s’exprimant régulièrement sur des sujets d’intérêt commun, comme l’adaptation, les pertes et préjudices, le financement, le transfert de technologies et le renforcement des capacités.
- Groupe des Pays les moins avancés (PMA) : 45 pays en développement parmi les moins avancés (principalement en Afrique et en Asie) qui défendent en commun leurs intérêts au sein des Nations Unies, notamment en raison de leur grande vulnérabilité au dérèglement climatique.
- Coalition des pays à forêts tropicales humides (Coalition for Rainforest Nations) : 52 pays issus des grands bassins forestiers (Afrique centrale, Asie du Sud-Est et Amazonie). Elle a pour but de faire reconnaître les efforts réalisés par les pays situés dans les bassins forestiers pour réduire les émissions de GES dues à la déforestation.
- Groupe des Pays en développement partageant la même vision [sur le climat] (Like Minded Developing Countries [on Climate Change] ou LMDC) : une coalition spontanée de 24 pays qui s’est créée durant la session de négociation du groupe de travail ADP (CCNUCC) de mai 2012 à Bonn. Elle fait partie du G77+Chine et vise à renforcer et unifier ce groupe. Elle est composée de plusieurs pays du monde arabe, de l’Inde, de la Chine, de plusieurs économies émergentes d’Asie et de certaines Parties actives de l’Amérique du Sud, notamment le Venezuela, la Bolivie et Cuba.
- Groupe des pays en développement sans littoral (Group of Landlocked Developing Countries ou LLDC). Ce nouveau groupe de négociation (qui fait partie des groupes officiels depuis juin 2025) comprend les Parties à la CCNUCC et à l’Accord de Paris. Les objectifs du LLDC sont de veiller à ce que les résultats des négociations de la CCNUCC reflètent les intérêts et les priorités spécifiques liés au caractère enclavé de ses pays membres ; de renforcer la capacité des membres du LLDC à participer à la CCNUCC et à ses processus et à y exercer une influence; et de soutenir les membres du LLDC dans la mise en œuvre, au niveau national, des engagements pris au titre de la Convention et de l’Accord de Paris.
- Grupo SUR (Groupe SUR) : le Grupo Sur, anciennement connu sous le nom du groupe ABU, est un groupe de négociation au sein de la CCNUCC. Il a été officiellement créé en 2006, lors des négociations de la CCNUCC à Nairobi, au Kenya (COP12). Il représente principalement les pays d’Amérique latine et des Caraïbes, partageant les mêmes idées sur les questions liées au changement climatique. Le Grupo SUR a été créé afin de renforcer la coordination et la solidarité entre les pays progressistes d’Amérique latine. La composition du groupe peut varier légèrement selon les sessions de négociation, mais il comprend généralement entre 14 et 20 pays.
Groupe de l’ombrelle : coalition flexible de pays développés qui ne font pas partie de l’UE et qui s’est formée après l’adoption du Protocole de Kyoto. Bien qu’informel, il rassemble habituellement les pays suivants : Australie, Canada, Etats-Unis, Islande, Israël, Kazakhstan, Norvège, Japon, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni, Ukraine.
L’Union européenne (UE) : l’UE constitue une Partie collective à la CCNUCC et au Protocole de Kyoto en tant qu’organisation régionale d’intégration économique (en vertu de l’article 1.6 de la CCNUCC et de l’article 4.4 dudit Protocol). Avec les 27 Etats membres, elle parle d’une seule voix lors des négociations climatiques. La Présidence au 2e semestre 2025 est assurée par le Danemark (juillet-décembre).
GIE (Groupe de l’intégrité environnementale) : formé en 2000 par des membres de l’OCDE qui n’adhéraient pas aux positions adoptées par le groupe de l’Ombrelle, à savoir la Suisse, le Mexique et la Corée du Sud, qui ont ensuite été rejoints par Monaco, le Liechtenstein
Groupe des pays montagneux (Mountain Group) : en juin 2010, des représentants des gouvernements de l’Arménie, du Kirghizistan et du Tadjikistan se sont réunis à Bonn lors des réunions intersessions de la CCNUCC afin de discuter de la possibilité de créer un groupe de pays en développement montagneux sans littoral (Mountainous Landlocked Developing Countries ou MLDC). L’objectif de ce groupe est de sensibiliser les Parties à la CCNUCC aux défis auxquels sont confrontés les pays en développement montagneux sans littoral en raison du changement climatique et de veiller à ce que les besoins de ces pays soient pris en compte dans le cadre du processus de négociation de la CCNUCC.
En juillet 2023, le groupe a été rétabli et rebaptisé « Groupe du Partenariat de la montagne » et comprenait alors l’Arménie, la République kirghize et le Tadjikistan. Après consultation des pays participants lors de leurs réunions pendant les sessions de la CCNUCC sur le climat qui se sont tenues à Bonn en juin 2025, le nom du groupe a été officiellement rebaptisé le « Groupe des pays montagneux montagne ».
Voir les présidents et les coordinateurs de ces groupes de négociation (état au 2 sept. 2025).
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La Coalition à haute ambition
La COP-21 a vu émerger une « grande coalition » de plus de 100 Parties : l’UE et 79 Etats rassemblés au sein du groupe ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifique), soit au total 107 pays [ou, avec l’UE en tant qu’organisation régionale à intégration économique, 108 Parties à la CCNUCC sur 197]. A l’initiative des Iles Marshall, ils se sont unis dans le cadre d’une coalition non officielle dite à haute ambition (High Ambition Coalition) pour souligner leur engagement partagé à trouver un accord mondial ambitieux et contraignant. Ils se sont mis d’accord sur les exigences suivantes :
- l’accord devait être juridiquement contraignant, inclusif [qui implique toutes les Parties], équitable, ambitieux, durable et dynamique,
- il devait établir un mécanisme de révision dans le cadre duquel les pays se réunissent tous les cinq ans pour évaluer les progrès accomplis vers la réalisation de cet objectif et pour renforcer les efforts collectifs et individuels en conséquence,
- il devait mettre en place un système de transparence, de comptabilisation et de responsabilisation pour suivre les progrès accomplis vers le respect des engagements nationaux et partager les meilleures pratiques.
Le 9 décembre 2015, les Etats-Unis ont rejoint cette Coalition, suivis d’autres pays (Canada, Australie et Brésil). Depuis l’élection du Président américain climatosceptique, Donald Trump, le 8 novembre 2016, les Etats-Unis ne font plus partie de cette coalition.
La COP-24 a vu la réémergence de la HAC : le 12 décembre 2018, une déclaration a été signée par 24 pays. Elle est également réapparue lors de la COP-25 (Madrid, 2019), puis lors de la COP-29 (Bakou, 2024).
Les membres de cette Coalition font partie de différents groupes de négociation officiels et leurs points de vue divergent sur plusieurs questions clés mais ils étaient unis dans leur exigence d’un accord à haute ambition.
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Groupes régionaux d’États Membres représentés à l’Organisation des Nations Unies
Afrique
Afrique du Sud
Algérie
Angola
Bénin
Botswana
Burkina Faso
Burundi
Cabo Verde
Cameroun
Comores
Congo
Côte d’Ivoire
Djibouti
Égypte
Érythrée
Eswatini
Éthiopie
Gabon
Gambie
Ghana
Guinée
Guinée-Bissau
Guinée équatoriale
Kenya
Lesotho
Libéria
Libye
Madagascar
Malawi
Mali
Maroc
Maurice
Mauritanie
Mozambique
Namibie
Niger
Nigéria
Ouganda
République centrafricaine
République démocratique du Congo
République-Unie de
Rwanda
Sao Tomé-et-Principe
Sénégal
Seychelles
Sierra Leone
Somalie
Soudan
Soudan du Sud
Tchad
Togo
Tunisie
Zambie
Zimbabwe
Amérique latine et Caraïbes
Antigua-et-Barbuda
Dominique
Panama
Argentine
El Salvador
Paraguay
Bahamas
Équateur
Pérou
Barbade
Grenade
République dominicaine
Belize
Guatemala
Sainte-Lucie
Bolivie
Guyana
Saint-Kitts-et-Nevis
Brésil
Haïti
Saint-Vincent-et-les Grenadines
Chili
Honduras
Suriname
Colombie
Jamaïque
Trinité-et-Tobago
Costa Rica
Mexique
Uruguay
Cuba
Nicaragua
Venezuela
[
Asie et Pacifique
Afghanistan
Kazakhstan
Qatar
Arabie saoudite
Kiribati*
République arabe syrienne
Bahreïn
Kirghizistan
République de Corée
Bangladesh
Koweït
République démocratique populaire lao
Bhoutan
Liban
République populaire démocratique de Corée
Brunéi Darussalam
Malaisie
Samoa
Cambodge
Maldives Singapour
Chine
Micronésie
Sri Lanka
Chypre
Mongolie
Tadjikistan
Émirats arabes unis
Myanmar
Thaïlande
Fidji
Nauru
Timor-Leste
Îles Marshall
Népal
Tonga
Îles Salomon
Oman
Turkménistan
Inde
Ouzbékistan
Türkiye*
Indonésie
Palaos
Tuvalu
Iran
Pakistan
Vanuatu
Iraq
Papouasie-Nouvelle-Guinée
Viet Nam
Japon
Philippines
Yémen
Jordanie
[
Europe occidentale et autres États
Allemagne
France
Norvège
Andorre
Grèce
Nouvelle-Zélande
Australie
Irlande
Pays-Bas
Autriche
Islande
Portugal
Belgique
Israël*
Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord
Canada
Italie
Saint-Marin
Danemark
Liechtenstein
Suède
Espagne
Luxembourg
Suisse
États-Unis d’Amérique*
Malte
Türkiye*
Finlande
Monaco
[
Europe de l’Est
Albanie
Fédération de Russie
République de Moldova
Arménie
Géorgie
Roumanie
Azerbaïdjan
Hongrie
Serbie
Bélarus
Lettonie
Slovaquie
Bosnie-Herzégovine
Lituanie
Slovénie
Bulgarie
Macédoine du Nord
Tchéquie
Croatie
Monténégro
Ukraine
Estonie
Pologne
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*Cas particuliers États-Unis d’Amérique : Les États-Unis d’Amérique n’appartiennent à aucun groupe régional, mais assistent aux réunions du Groupe des États d’Europe occidentale et autres États en tant qu’observateur et sont rattachés à ce groupe pour les élections. | Israël : En mai 2000, Israël est devenu membre à part entière du Groupe des États d’Europe occidentale et autres États à titre provisoire (décision pouvant être prorogée), ce qui lui a permis de désigner des candidats aux élections de divers organes de l’Assemblée générale. En 2004, ce statut lui a été conféré à titre permanent. | Kiribati : En 2010, Kiribati (qui se situe en Océanie) n’était membre d’aucun groupe régional, alors que d’autres nations d’Océanie appartenaient au Groupe des États d’Asie et du Pacifique. | Türkiye : La Türkiye participe pleinement au Groupe des États d’Europe occidentale et autres États et au Groupe des États d’Asie et du Pacifique, mais, pour les élections, elle est considérée comme faisant partie du premier groupe uniquement. https://www.un.org/dgacm/fr/content/regional-groups
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Architecture de l’Accord de Paris (liste des articles et de leur contenu)
Préambule [les « considérants »]
Article 1 : définitions,
Article 2 : objectifs généraux et principes
Article 3 : ambition
Article 4 : atténuation (objectifs à long terme)
Article 5 : puits et REDD+
Article 6 : mécanismes de flexibilité
Article 7 : adaptation
Article 8 : pertes et préjudices
Article 9 : financement
Article 10 : développement et transfert de technologies
Article 11 : renforcement des capacités
Article 12 : éducation, sensibilisation et formation
Article 13 : transparence
Article 14 : bilan mondial
Article 15 : mécanisme pour faciliter la mise en œuvre et promouvoir le respect des dispositions (+ Comité d’experts)
Article 16 : CMA
Article 17 : Secrétariat
Article 18 : SBSTA/SBI
Article 19 : organes subsidiaires et autres dispositifs institutionnels de la CCNUCC
Article 20 : signature
Article 21 : entrée en vigueur
Article 22 : adoption d’amendements
Article 23 : adoption d’annexes et adoption d’amendements d’annexes
Article 24 : règlement des différends
Article 25 : droit de vote
Article 26 : dépositaire de l’Accord (Secrétaire-Général de l’ONU)
Article 27 : droit de réserve
Article 28 : droit de retrait
Article 29 : versions de l’Accord dans les différentes langues de l’ONU