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Adaptation Agriculture et Forêt Atténuation CCNUCC et Accord de Paris Fiscalité, coûts et économie Politique et règlementation
Publié le 03 novembre 2025

Glossaire du Citepa pour la COP-30

Par : Mark Tuddenham

Modifié le : 03/11/2025
Réf . : 2025_11_03

Le Citepa a réalisé un glossaire en quatre parties pour vous permettre d’y voir plus clair concernant :

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Abréviations et acronymes

BAR : Baku-Belém Adaptation Roadmap

BR : Rapport biennal (Biennal Report) (élément-clé du dispositif IAR)

BTR : Rapport de transparence biennal (Biennal Transparency Report) (au titre de l’article 13 de l’Accord de Paris)

BUR : Rapport de mise à jour biennal (Biennal Update Report) (élément-clé du dispositif ICA)

CCNUCC : Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (Convention Climat)

CMA : Réunion des Parties à l’Accord de Paris

CMP : Réunion des Parties au Protocole de Kyoto

COP : Conférence des Parties à la Convention Climat

ETF : Cadre de transparence renforcée (Enhanced Transparency Framework) (cf. article 13)

FMCP : Examen multilatéral des progrès (Facilitative Multilateral Consideration of Progress) (cf. article 13)

FRLD : Fund for responding to loss and damage (Fond pertes et préjudices)

GCF : Fonds vert pour le Climat (Green Climate Fund)

GES : Gaz à effet de serre

GGA : Objectif mondial en matière d’adaptation (Global Goal on Adaptation) (cf. article 7)

GIEC : Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (IPCC en anglais)

GST : Bilan mondial (Global Stocktake) (cf. article 14)

IAR : Évaluation et analyse internationales (International Assessment and Review) (dispositif MRV applicable aux Parties à l’annexe I)

ICA : Consultation et analyse internationales (International Consultation and Analysis) (dispositif MRV applicable aux pays en développement)

INDC:    Contributions prévues déterminées au niveau national

ITMO : Transferts de réductions réalisées entre pays (internationally transferred mitigation outcomes) (article 6 de l’Accord de Paris)

JTWP : Programme de travail sur la transition juste (Just Transition Work Programme)

MA : Évaluation multilatérale (Multilateral Assessment) (élément-clé du dispositif IAR)

MDP : Mécanisme de développement propre (article 12 du Protocole de Kyoto)

MoI : Moyens de mise en œuvre (Means of Implementation), à savoir le financement climat, le transfert de technologies et le renforcement des capacités

MPG : Modalités, procédures et lignes directrices (modalities, procedures and guidelines)

MRV : Suivi, notification et vérification (Measuring, Reporting and Verification) [concept défini pour la première fois dans le Plan d’actions de Bali de décembre 2007]

MWP : Programme de travail sur l’ambition et la mise en œuvre de mesures correspondantes en matière d’atténuation (Mitigation Ambition and Implementation Work Programme)

NAP : Plans nationaux d’adaptation (National Adaptation Plans)

NCQG : Nouvel objectif quantifié collectif pour le financement climat (New Collective Quantified Goal for climate finance)

NDC : Contributions déterminées au niveau national

OMGE : Atténuation globale des émissions mondiales (Overall mitigation in global emissions)

PACM : Mécanisme d’octroi de crédits d’émission (Paris Agreement Crediting Mechanism)

PAICC : Comité pour faciliter la mise en œuvre et le respect de l’Accord de Paris (Paris Agreement Implementation and Compliance Committee) (cf. article 15)

PCCB : Comité de Paris sur le renforcement des capacités (Paris Committee on Capacity Building)

PED : Pays en développement

SB : Organes subsidiaires (Subsidiary Bodies), terme collectif qui englobe le SBSTA et le SBI

SBI : Organe subsidiaire pour la mise en œuvre [organe de la CCNUCC]

SBM : Organe de supervision de l’article 6.4 (Article 6.4 Supervisory Body)

SBSTA : Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique [organe de la CCNUCC]

SCF : Comité permanent sur le financement (Standing Committee on Finance)

URCE : Unité de réduction certifiée des émissions (en anglais : Certified Emission Reductions ou CER) (crédits d’émission résultant de la mise en œuvre de projets réalisés dans le cadre du MDP)

UTCATF : Utilisation des terres, changement d’affectation des terres et foresterie (LULUCF en anglais)

WIM : Mécanisme international de Varsovie (Warsaw International Mechanism).

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Principales coalitions de négociation

Les négociations au sein de la CCNUCC s’articulent :

  • autour de cinq groupes régionaux des Nations Unies (Afrique ; Asie et région du Pacifique [dont les Etats du Golfe (Bahreïn, Koweït, Oman,…)]; Europe de l’Est et Europe centrale ; Amérique latine et caraïbes ; Europe de l’Ouest et autres [Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, USA, Israël]), et
  • autour de plusieurs coalitions de négociation fondées sur des alliances politiques constituées sur la base d’intérêts communs.

Cependant, les cinq groupes régionaux ne sont généralement pas utilisés pour présenter les intérêts fondamentaux des Parties, et plusieurs autres groupements jouent un rôle plus important dans les négociations sur le climat.

Les pays peuvent également prendre la parole en leur nom propre.

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Groupes de négociation

Il existe actuellement 16 groupes de négociation officiels dans le cadre du processus de négociation de la CCNUCC.

G77+Chine : composé de 133 pays en développement et de la Chine, celle-ci étant un membre associé plutôt qu’un membre à part entière. Lors des négociations climat, les pays membres du G77+Chine adoptent parfois des positions divergentes, qu’ils défendent alors par le biais d’une autre coalition de négociation ou d’un groupe régional.

Au sein du G77+Chine :

  • BASIC : Brésil, Afrique du Sud, Inde, Chine. Il a été fondé en novembre 2009 pour définir une position commune avant la COP-15 à Copenhague. Ces dernières années, cette coalition a été beaucoup moins active et le Brésil a pris ses distances avec les trois autres pays.
  • Groupe arabe : 22 pays qui insistent régulièrement sur le besoin de prendre en considération les impacts négatifs potentiels des actions climat sur leur économie. Ses membres s’associent le plus souvent au G77+Chine ou au groupe des LMDC, auquel appartiennent également l’Arabie Saoudite, l’Irak, le Koweït ou le Qatar. Le groupe n’est pas formellement présidé par l’un de ses membres mais l’Arabie Saoudite y joue un rôle clé.
  • ALBA (Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique): il s’agit, à l’origine, d’une organisation politique, sociale et économique qui vise à promouvoir la coopération dans ces domaines entre certains pays de l’Amérique latine et des Caraïbes et à fournir une alternative à la zone de libre-échange des Amériques promue par les États-Unis. L’ALBA constitue aussi, depuis 2010, une coalition de négociation avec un noyau de 10 pays dont le Venezuela, Cuba, la Bolivie, l’Équateur, le Nicaragua et Antigua-et-Barbuda.
  • AILAC (Association des Etats indépendants d’Amérique latine et des Caraïbes, GRULAC en français) : Chili, Colombie, Costa Rica, Guatemala, Honduras, Panama, Pérou. Créée à la suite de la COP-18 à Doha en 2012 pour donner une nouvelle impulsion aux négociations, l’AILAC s’est détachée de l’ALBA en développant des positions plus centristes.
  • AOSIS (Alliance des petits Etats insulaires ou Alliance of Small Island States) : 39 membres (et cinq observateurs) qui ont en commun leur grande vulnérabilité face au changement climatique, notamment la hausse du niveau de la mer.
  • Groupe Afrique: il rassemble 54 pays du continent africain et fonctionne comme une véritable coalition s’exprimant régulièrement sur des sujets d’intérêt commun, comme l’adaptation, les pertes et préjudices, le financement, le transfert de technologies et le renforcement des capacités.
  • Groupe des Pays les moins avancés (PMA) : 45 pays en développement parmi les moins avancés (principalement en Afrique et en Asie) qui défendent en commun leurs intérêts au sein des Nations Unies, notamment en raison de leur grande vulnérabilité au dérèglement climatique.
  • Coalition des pays à forêts tropicales humides (Coalition for Rainforest Nations) : 52 pays issus des grands bassins forestiers (Afrique centrale, Asie du Sud-Est et Amazonie). Elle a pour but de faire reconnaître les efforts réalisés par les pays situés dans les bassins forestiers pour réduire les émissions de GES dues à la déforestation.
  • Groupe des Pays en développement partageant la même vision [sur le climat] (Like Minded Developing Countries [on Climate Change] ou LMDC) : une coalition spontanée de 24 pays qui s’est créée durant la session de négociation du groupe de travail ADP (CCNUCC) de mai 2012 à Bonn. Elle fait partie du G77+Chine et vise à renforcer et unifier ce groupe. Elle est composée de plusieurs pays du monde arabe, de l’Inde, de la Chine, de plusieurs économies émergentes d’Asie et de certaines Parties actives de l’Amérique du Sud, notamment le Venezuela, la Bolivie et Cuba.
  • Groupe des pays en développement sans littoral (Group of Landlocked Developing Countries ou LLDC). Ce nouveau groupe de négociation (qui fait partie des groupes officiels depuis juin 2025) comprend les Parties à la CCNUCC et à l’Accord de Paris. Les objectifs du LLDC sont de veiller à ce que les résultats des négociations de la CCNUCC reflètent les intérêts et les priorités spécifiques liés au caractère enclavé de ses pays membres ; de renforcer la capacité des membres du LLDC à participer à la CCNUCC et à ses processus et à y exercer une influence; et de soutenir les membres du LLDC dans la mise en œuvre, au niveau national, des engagements pris au titre de la Convention et de l’Accord de Paris.
  • Grupo SUR (Groupe SUR) : le Grupo Sur, anciennement connu sous le nom du groupe ABU, est un groupe de négociation au sein de la CCNUCC. Il a été officiellement créé en 2006, lors des négociations de la CCNUCC à Nairobi, au Kenya (COP12). Il représente principalement les pays d’Amérique latine et des Caraïbes, partageant les mêmes idées sur les questions liées au changement climatique. Le Grupo SUR a été créé afin de renforcer la coordination et la solidarité entre les pays progressistes d’Amérique latine. La composition du groupe peut varier légèrement selon les sessions de négociation, mais il comprend généralement entre 14 et 20 pays.

Groupe de l’ombrelle : coalition flexible de pays développés qui ne font pas partie de l’UE et qui s’est formée après l’adoption du Protocole de Kyoto. Bien qu’informel, il rassemble habituellement les pays suivants : Australie, Canada, Etats-Unis, Islande, Israël, Kazakhstan, Norvège, Japon, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni, Ukraine.

L’Union européenne (UE) : l’UE constitue une Partie collective à la CCNUCC et au Protocole de Kyoto en tant qu’organisation régionale d’intégration économique (en vertu de l’article 1.6 de la CCNUCC et de l’article 4.4 dudit Protocol). Avec les 27 Etats membres, elle parle d’une seule voix lors des négociations climatiques. La Présidence au 2e semestre 2025 est assurée par le Danemark (juillet-décembre).

GIE (Groupe de l’intégrité environnementale) : formé en 2000 par des membres de l’OCDE qui n’adhéraient pas aux positions adoptées par le groupe de l’Ombrelle, à savoir la Suisse, le Mexique et la Corée du Sud, qui ont ensuite été rejoints par Monaco, le Liechtenstein

Groupe des pays montagneux (Mountain Group) : en juin 2010, des représentants des gouvernements de l’Arménie, du Kirghizistan et du Tadjikistan se sont réunis à Bonn lors des réunions intersessions de la CCNUCC afin de discuter de la possibilité de créer un groupe de pays en développement montagneux sans littoral (Mountainous Landlocked Developing Countries ou MLDC). L’objectif de ce groupe est de sensibiliser les Parties à la CCNUCC aux défis auxquels sont confrontés les pays en développement montagneux sans littoral en raison du changement climatique et de veiller à ce que les besoins de ces pays soient pris en compte dans le cadre du processus de négociation de la CCNUCC.

En juillet 2023, le groupe a été rétabli et rebaptisé « Groupe du Partenariat de la montagne » et comprenait alors l’Arménie, la République kirghize et le Tadjikistan. Après consultation des pays participants lors de leurs réunions pendant les sessions de la CCNUCC sur le climat qui se sont tenues à Bonn en juin 2025, le nom du groupe a été officiellement rebaptisé le « Groupe des pays montagneux montagne ».

Voir les présidents et les coordinateurs de ces groupes de négociation (état au 2 sept. 2025).

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La Coalition à haute ambition

La COP-21 a vu émerger une « grande coalition » de plus de 100 Parties : l’UE et 79 Etats rassemblés au sein du groupe ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifique), soit au total 107 pays [ou, avec l’UE en tant qu’organisation régionale à intégration économique, 108 Parties à la CCNUCC sur 197]. A l’initiative des Iles Marshall, ils se sont unis dans le cadre d’une coalition non officielle dite à haute ambition (High Ambition Coalition) pour souligner leur engagement partagé à trouver un accord mondial ambitieux et contraignant. Ils se sont mis d’accord sur les exigences suivantes :

  • l’accord devait être juridiquement contraignant, inclusif [qui implique toutes les Parties], équitable, ambitieux, durable et dynamique,
  • il devait établir un mécanisme de révision dans le cadre duquel les pays se réunissent tous les cinq ans pour évaluer les progrès accomplis vers la réalisation de cet objectif et pour renforcer les efforts collectifs et individuels en conséquence,
  • il devait mettre en place un système de transparence, de comptabilisation et de responsabilisation pour suivre les progrès accomplis vers le respect des engagements nationaux et partager les meilleures pratiques.

Le 9 décembre 2015, les Etats-Unis ont rejoint cette Coalition, suivis d’autres pays (Canada, Australie et Brésil). Depuis l’élection du Président américain climatosceptique, Donald Trump, le 8 novembre 2016, les Etats-Unis ne font plus partie de cette coalition.

La COP-24 a vu la réémergence de la HAC : le 12 décembre 2018, une déclaration a été signée par 24 pays. Elle est également réapparue lors de la COP-25 (Madrid, 2019), puis lors de la COP-29 (Bakou, 2024).

Les membres de cette Coalition font partie de différents groupes de négociation officiels et leurs points de vue divergent sur plusieurs questions clés mais ils étaient unis dans leur exigence d’un accord à haute ambition.

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Groupes régionaux d’États Membres représentés à l’Organisation des Nations Unies

Afrique

Afrique du Sud

Algérie

Angola

Bénin

Botswana

Burkina Faso

Burundi

Cabo Verde

Cameroun

Comores

Congo

Côte d’Ivoire

Djibouti

Égypte

Érythrée

Eswatini

Éthiopie

Gabon

Gambie

Ghana

Guinée

Guinée-Bissau

Guinée équatoriale

Kenya

Lesotho

Libéria

Libye

Madagascar

Malawi

Mali

Maroc

Maurice

Mauritanie

Mozambique

Namibie

Niger

Nigéria

Ouganda

République centrafricaine

République démocratique du Congo

République-Unie de

Rwanda

Sao Tomé-et-Principe

Sénégal

Seychelles

Sierra Leone

Somalie

Soudan

Soudan du Sud

Tchad

Togo

Tunisie

Zambie

Zimbabwe

 

Amérique latine et Caraïbes

Antigua-et-Barbuda

Dominique

Panama

Argentine

El Salvador

Paraguay

Bahamas

Équateur

Pérou

Barbade

Grenade

République dominicaine

Belize

Guatemala

Sainte-Lucie

Bolivie

Guyana

Saint-Kitts-et-Nevis

Brésil

Haïti

Saint-Vincent-et-les Grenadines

Chili

Honduras

Suriname

Colombie

Jamaïque

Trinité-et-Tobago

Costa Rica

Mexique

Uruguay

Cuba

Nicaragua

Venezuela

[

Asie et Pacifique

Afghanistan

Kazakhstan

Qatar

Arabie saoudite

Kiribati*

République arabe syrienne

Bahreïn

Kirghizistan

République de Corée

Bangladesh

Koweït

République démocratique populaire lao

Bhoutan

Liban

République populaire démocratique de Corée

Brunéi Darussalam

Malaisie

Samoa

Cambodge

Maldives Singapour

Chine

Micronésie

Sri Lanka

Chypre

Mongolie

Tadjikistan

Émirats arabes unis

Myanmar

Thaïlande

Fidji

Nauru

Timor-Leste

Îles Marshall

Népal

Tonga

Îles Salomon

Oman

Turkménistan

Inde

Ouzbékistan

Türkiye*

Indonésie

Palaos

Tuvalu

Iran

Pakistan

Vanuatu

Iraq

Papouasie-Nouvelle-Guinée

Viet Nam

Japon

Philippines

Yémen

Jordanie

[

Europe occidentale et autres États

Allemagne

France

Norvège

Andorre

Grèce

Nouvelle-Zélande

Australie

Irlande

Pays-Bas

Autriche

Islande

Portugal

Belgique

Israël*

Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord

Canada

Italie

Saint-Marin

Danemark

Liechtenstein

Suède

Espagne

Luxembourg

Suisse

États-Unis d’Amérique*

Malte

Türkiye*

Finlande

Monaco

[

Europe de l’Est

Albanie

Fédération de Russie

République de Moldova

Arménie

Géorgie

Roumanie

Azerbaïdjan

Hongrie

Serbie

Bélarus

Lettonie

Slovaquie

Bosnie-Herzégovine

Lituanie

Slovénie

Bulgarie

Macédoine du Nord

Tchéquie

Croatie

Monténégro

Ukraine

Estonie

Pologne

[

*Cas particuliers   États-Unis d’Amérique : Les États-Unis d’Amérique n’appartiennent à aucun groupe régional, mais assistent aux réunions du Groupe des États d’Europe occidentale et autres États en tant qu’observateur et sont rattachés à ce groupe pour les élections. |  Israël : En mai 2000, Israël est devenu membre à part entière du Groupe des États d’Europe occidentale et autres États à titre provisoire (décision pouvant être prorogée), ce qui lui a permis de désigner des candidats aux élections de divers organes de l’Assemblée générale. En 2004, ce statut lui a été conféré à titre permanent.  |  Kiribati : En 2010, Kiribati (qui se situe en Océanie) n’était membre d’aucun groupe régional, alors que d’autres nations d’Océanie appartenaient au Groupe des États d’Asie et du Pacifique. |  Türkiye : La Türkiye participe pleinement au Groupe des États d’Europe occidentale et autres États et au Groupe des États d’Asie et du Pacifique, mais, pour les élections, elle est considérée comme faisant partie du premier groupe uniquement. https://www.un.org/dgacm/fr/content/regional-groups

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Architecture de l’Accord de Paris (liste des articles et de leur contenu)

Préambule [les « considérants »]

Article 1 :              définitions,

Article 2 :              objectifs généraux et principes

Article 3 :              ambition

Article 4 :              atténuation (objectifs à long terme)

Article 5 :              puits et REDD+

Article 6 :              mécanismes de flexibilité

Article 7 :              adaptation

Article 8 :              pertes et préjudices

Article 9 :              financement

Article 10 :           développement et transfert de technologies

Article 11 :           renforcement des capacités

Article 12 :           éducation, sensibilisation et formation

Article 13 :           transparence

Article 14 :           bilan mondial

Article 15 :            mécanisme pour faciliter la mise en œuvre et promouvoir le respect des dispositions (+ Comité d’experts)

Article 16 :           CMA

Article 17 :           Secrétariat

Article 18 :           SBSTA/SBI

Article 19 :           organes subsidiaires et autres dispositifs institutionnels de la CCNUCC

Article 20 :           signature

Article 21 :           entrée en vigueur

Article 22 :           adoption d’amendements

Article 23 :           adoption d’annexes et adoption d’amendements d’annexes

Article 24 :           règlement des différends

Article 25 :           droit de vote

Article 26 :           dépositaire de l’Accord (Secrétaire-Général de l’ONU)

Article 27 :           droit de réserve

Article 28 :           droit de retrait

Article 29 :           versions de l’Accord dans les différentes langues de l’ONU

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